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Catégorie : Pollutions - Collectif Interassociatif des Déchets, de l'Environnement et de la Santé de l'Hérault (CIDES34) Catégorie : Pollutions - Collectif Interassociatif des Déchets, de l'Environnement et de la Santé de l'Hérault (CIDES34)

St Jean de Libron contribution 256 à l’EUP du PRPGD Occitanie

Avis

Avis Défavorable car votre plan ne tient pas compte de l’ISDND de St Jean de Libron à Béziers. C’est une erreur car ce site expose des riverains proches situé sous le vent dominant (cela a été dissimulé dans la dernière étude d’impact) est exploité dans l’illégalité depuis 2014, grâce au passe droit de la préfecture de l’Hérault. Depuis 2014 la quasi totalité des ordures ménagères sont enfouis. Effectivement, la Cour des Comptes nous révêles que VALORBI (centre de valorisation) ne valorise que 3% des ordures, le reste est enfoui à l’ISDND sans stabilisation préalable de la matière organique par manque d’infrastructures (il manquerait jusqu’à 6 tunnels de stabilisation).

Les conséquences sont dramatique pour la population riveraine qui doit supporter les émanations de biogaz avec le H2S qui au bout de bientôt deux ans rend malade des personnes (irritations des yeux, du nez, de la gorges, des bronches, des cordes vocales….). Des recours au tribunal sont en cours. L’exploitant , la Communauté d’agglomération Béziers Méditerranée refuse de rectifier ses erreurs en fermant son casier N°4. Car ce casier à reçu énormément de matière putrescible et fuit du biogaz et cette situation empire avec la pluie qui réactive fortement la méthanisation. L’exploitant et les services de l’état sont totalement incompétents et ont mis en place des casiers qui restent ouvert pendant 4 ans (casier N°3 ouvert de 2012 à 2016) au beau milieu des habitations alors qu’il est parfaitement connu que la matière putrescibles va se dégrader et engendrer une montée en puissance des biogaz pendant 4 ans, qu’il est parfaitement reconnu qu’un ISDND n’est pas un méthaniseur comme les autres et qu’il l’a la particularité d’avoir beaucoup de fuites. Alors démarrer le casier n°4 avec des déchets putrescibles fumant (photos à l’appui) et refuser de le fermer pour ensuite refaire de petits casier qui seront fermé au bout d’un an est un acte criminelle pour la planète et la couche d’ozone (CH4 à un effet de serre 24 fois plus fort que le CO2) mais surtout pour les riverains. Alors je remercie d’avance la région de prendre sa part de responsabilité dans cette affaire. Pour plus de détail consulter le blog: https://airsainmontimas.wordpress.com/

Adolphe Barralier
mail : rodolphe.tonnelier@free.fr

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Pour une harmonisation entre le code minier et la réglementation des déchets

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Logo CIDES-34

Contribution PRPGD

Au nord de l’Ariège, 4 grandes sociétés internationales d’extraction minière sortent du sol des matériaux nobles datant de la dernière glaciation et mettent à jour la nappre phréatique. Puis ces mêmes sociétés enfouissent à même cette nappe des déchets du BTP qui sont dits inertes.

D’une part, ces déchets du BTP se délitent dans l’eau, libérant dans la nappe un lixiviat contenant de nombreux polluants et se colmatent. Depuis plusieurs années, des associations locales font des analyses de l’eau en amont et en aval de ces gravières. Il en résulte une explosion de produits toxiques tel l’alumine rendant impropre à la consommation l’eau destinée aux populations en aval.

De nombreuses études le montrent également. On parle de lixiviation des bétons.

La nature de ces pollutions relève d’un traitement de potabilité très lourd du fait de la présence d’hydrocarbures, de métaux et de pollutions bactériologiques.

Par ailleurs, les états européens ont l’obligation, d’ici 2021, de recycler 70% des déchets du BTP. Or, aujourd’hui, l’Ariège est à 2%. Enfouir des déchets du BTP est considéré comme du recyclage, voire de la valorisation, car sur les déchets est remis la terre qui a été préalablement ôtée avant l’extraction des matériaux, de façon à reconstituer des terres agricoles. Ce procédé ne résout en aucun cas le problème de la pollution qui pendant des siècles va rendre impropre à la consommation, l’eau de cette immense nappe phréatique.

Actuellement, les carriers simultanément en phase d’extraction de matériaux et d’enfouissement de déchets du BTP, sont soumis au code minier, alors que ces mêmes déchets gérés par des collectivités publiques ou des syndicats de collecte doivent obéir à la réglementation des ISDI (installation de stockage des déchets inertes).

Aussi les carriers sont autorisés à enfouir ces déchets dans des nappes phréatiques alors que pour les seconds cela leur est strictement interdit.

Il est urgent d’harmoniser au niveau national le code minier très permissif et la réglementation de la gestion des déchets en ce qui concerne leur stockage et leur enfouissement afin que les carriers soient soumis aux mêmes règles que les collectivités publiques et les syndicats de collecte de déchets.

Cela se passe en Basse-Ariège, sur 1000 ha, contaminant la plus grande nappe phréatique qui alimente la région toulousaine et il faudrait arrêter d’urgence ce processus et ne pas l’étendre à toute l’Occitanie.

Il y a d’ailleurs plusieurs régions où cela est interdit, notamment la région parisienne.

Le contributeur
EELV09

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Le loup sort du bois

PRPGD

Le PRPGD a vu le jour en 2014 et a provoqué chez certaines association de défense de l’environnement un profond découragement. Ce fut le cas du CID34, un collectif informel et pourtant actif lassé du « cause toujours tu m’intéresse » d’autorités peu soucieuses de l’intérêt général et plutôt permissives vis à vis des grands industriels du monde des déchets. Ces industriels obnubilés par leur business, illusionnistes faisant miroiter aux élus locaux des solutions autant mirobolantes et inefficaces que chères pour le porte-monnaie des citoyens-contribuables.

Ainsi se sont développés les exutoires nocifs (incinérateurs baptisés UIOM, décharges ISDN ou ISDI, usines de tri mécanique affublées de méthaniseurs, etc.).

Alors qu’il est simple et anti-gaspi de trier les déchets à la source, de recycler-réutiliser-réparer-etc. Prévenir les déchets, vous n’y pensez pas ? Vous aller faire baisser le chiffre d’affaires de ces braves industriels et les dividendes versé à leurs actionnaires! Pourtant, à la grande réunion de Gardanne le 22 novembre 2018 (organisée par FNE-PACA), la question a été posée aux dits industriels. Pas d’échappatoire : on y pense, on y réfléchit.

Réfléchissez vite, l’échéance de 2025 pour la généralisation du tri à la source approche dans le cadre de la LTECV.

Raymond_Gimilio
Président ODAM,
Conseiller CIDES34, Trésorier

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Saint-Jean-de-Libron non-dangereux ? EUP PRPGD Occitanie

Contribution PRPGD

Résidant à Montimas (Béziers) depuis plus de 40 ans, époque où le centre d’enfouissement (ISDND de St Jean de Libron) n’existait pas, nous souffrons de plus en plus de la présence de cette décharge (située au coeur d’une zone verte agricole) sensée gérér les déchets ultimes provenant de l’usine Valorbi de Béziers qui ne fonctionne pas puisque selon la Cour des Comptes, seulement 3% des déchets de Béziers et d’une cinquantaine de villages environnants y sont correctement traités. Tout le reste est enfoui à St Jean de Libron.

Depuis environ 2 ans, ce qui devait arriver se produit : une fermentation de plus en plus intense, plus maîtrisable et irréversible compte-tenu des quantités enfouies, fabrique un biogaz irrespirable qui pourrit la vie des centaines d’habitants du quartier qui, pour la plupart, vivent là depuis bien avant l’ouverture de cette décharge.

Si une extension ou un projet visant à traiter plus de déchets étaient réalisés à cet endroit , la dégradation des conditions de vie et de la santé des habitants serait inéluctable .

Aux décideurs et aux gestionnaires d’envisager et d’étudier les conséquences de leurs décisions .

A M
Citoyen participant au PRPGD-Occitanie

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Les solutions industrielles

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Contribution PRPGD

Les solutions industrielles pour le traitement des déchets vous paraissent-elles vraiment pertinentes ? Demandez aux riverains des installations classées pour la protection de l’environnement : Garosud-Montpellier, Castries et environs, Badone-Montimas-Saint-Jean-de-Libron et environs, Lunel-Viel-Ocreal et environs, etc.

Votre avis est important, nous transmettrons.

Raymond Gimilio
ODAM

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St Jean de Libron contribution 261 à l’EUP du PRPGD Occitanie

Contribution PRPGD

Je souhaite m’exprimer au sujet de l’ISDND de St Jean de Libron à Béziers. Ce site exploité dans l’illégalité depuis 2014 expose des riverains proches à des odeurs insupportables et à des émanations qui ont des conséquences sur leur santé, bien que celà ait été dissimulé dans la dernière étude d’impact.

Depuis 2014 la quasi totalité des ordures ménagères sont enfouis. Cela est attesté par la cour des comptes qui nous révèles que VALORBI (centre de valorisation) ne valorise que 3% des ordures, le reste étant enfoui à l’ISDND sans stabilisation préalable de la matière organique par manque d’infrastructure. Les conséquences sont dramatique pour la population riveraine qui doit supporter les émanations de biogaz avec le H2S qui au bout de bientôt deux ans rend malade des personnes (irritations des yeux, du nez, de la gorges, des bronches, des cordes vocales….). Des recours au tribunal sont en cours.

L’exploitant , la Communauté d’agglomération Béziers Méditerranée refuse de rectifier ses erreurs en fermant son casier N°4. Or, ce casier a reçu énormément de matière putrescible et fuit du biogaz. Cette situation empire avec la pluie qui réactive fortement la méthanisation. L’exploitant et les services de l’état sont totalement incompétents et ils ont mis en place des casiers qui restent ouvert pendant 4 ans (casier N°3 ouvert de 2012 à 2016) au beau milieu des habitations alors qu’il est parfaitement connu que la matière putrescibles va se dégrader et engendrer une montée en puissance des biogaz pendant 4 ans. Par ailleurs, il est également reconnu qu’un ISDND n’est pas un méthaniseur comme les autres et qu’il a la particularité d’avoir beaucoup de fuites. Alors démarrer le casier n°4 avec des déchets putrescibles fumant et refuser de le fermer pour ensuite refaire de petits casier qui seront fermé au bout d’un an est un acte criminelle pour la planète et la couche d’ozone (CH4 à un effet de serre 24 fois plus fort que le CO2) mais surtout pour les riverains. La région peut- elle prendre sa part de responsabilité dans cette affaire ?

Anonyme

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