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Après le confinement COVID qui nous a paralysés, le CIDES34 a restauré son site Internet. Le démarrage est effectif depuis le 14 mai 2023.
N’hésitez pas à nous contacter.
Cordialement.
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action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /var/www/vhosts/cides34.fr/httpdocs/wp-includes/functions.php on line 6114Après le confinement COVID qui nous a paralysés, le CIDES34 a restauré son site Internet. Le démarrage est effectif depuis le 14 mai 2023.
N’hésitez pas à nous contacter.
Cordialement.
PARIS (Reuters) – Le tribunal correctionnel de Paris a infligé à l’agglomération de Melun (Seine-et-Marne) la première condamnation en France pour mise en danger de la vie d’autrui par les rejets toxiques de dioxines d’un incinérateur d’ordures ménagères.
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Article republié par The Conversation et republié sur CIDES34
Article publié sur The Conversation. Cliquez sur ce lien.
Maria Luiza Pedrotti, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Ce texte est extrait de la récente édition de « La revue de l’Institut Veolia – Facts Reports » consacrée aux plastiques. André Abreu, directeur des politiques internationales pour la Fondation Tara Expéditions, est co-auteur de cet article.
5 250 milliards, c’est le nombre de particules plastiques qui flottent à la surface des mers et des océans du monde, soit l’équivalent de 268 940 tonnes de déchets. Des fragments qui circulent au gré des courants, avant d’échouer pour une partie sur les plages, les îles, les atolls de récifs coralliens ou encore dans l’un des cinq « gyres » océaniques, dont le plus grand et plus connu se situe dans l’océan Pacifique nord.
La majorité de ces déchets existe sous forme de microplastiques, c’est-à-dire de déchets d’une taille inférieure à 5 mm. Ces micro-déchets sont constitués d’un assemblage hétérogène de pièces qui varient en taille, forme, couleur, densité et composition chimique. Parmi eux, la plupart dérivent en mer avant d’être détérioriés, un processus qui peut prendre entre 100 et 1 000 ans.
On distingue les microplastiques primaires, libérés sous forme de petites particules plastiques – microbilles contenus dans les cosmétiques, fragments textiles… – des microplastiques secondaires, qui proviennent surtout de la dégradation des gros déchets plastiques en milieu marin – comme les sacs plastiques à usage unique.
Selon les experts de l’Ifremer, 700 tonnes de déchets se déversent chaque jour en mer Méditerranée qui représente l’une des régions les plus impactées par la pollution marine, plastique tout particulièrement.
À lire aussi : Pollution plastique : retour sur une prise de conscience
Du fait de son caractère de mer semi-fermée, la Méditerranée connaît une exposition plus forte que les océans : le taux de renouvellement de ses eaux est de 90 ans alors que la persistance des plastiques est, elle, supérieure à 100 ans.
Entre 1 000 et 3 000 tonnes de plastiques flottent actuellement à la surface (fragments de bouteilles, sacs, emballages, fils de pêche…), provenant en grande partie des zones d’accumulation des villes côtières, des zones à forte activité touristique et des décharges à ciel ouvert. La majeure partie de la pollution méditerranéenne provient des 250 milliards de fragments de microplastiques qui s’y trouvent, selon les estimations de l’Expédition MED.
Un problème exacerbé par d’autres facteurs : les côtes densément peuplées, le tourisme fortement développé, le passage de 30 % du trafic maritime mondial et les apports supplémentaires des déchets par les rivières et les zones très urbanisées.
En Méditerranée, 95 % des déchets marins sont en plastique, ce qui a mené certains experts à la qualifier de sixième grande zone d’accumulation de déchets marins au monde, après les cinq gyres océaniques.
En 2014, la fondation Tara a conduit une expédition pendant neuf mois dans le bassin méditerranéen pour étudier spécifiquement les microplastiques et en comprendre les impacts sur cet écosystème. Elle a permis d’effectuer 2 000 prélèvements dans quelque 350 stations, près des côtes, proches des villes, des embouchures de rivières et dans les ports. Des données représentant 75 000 particules de plastique, actuellement en cours d’analyse.
L’expédition a déjà permis un constat clair : que ce soit près des côtes ou plus au large, la Méditerranée est polluée à 100 % par les plastiques. Plus alarmant encore, la concentration des microplastiques (<5mm) est parfois aussi importante que celle trouvée dans le « 7e continent de plastique » – qui fait trois fois la taille de la France, dans le Pacifique. Leur nombre avoisine par ailleurs l’ordre de grandeur du plancton, à la base de la chaîne alimentaire.
Outre les dommages financiers engendrés par le plastique sur les écosystèmes – qui seraient, à l’échelle mondiale, de l’ordre de 13 milliards de dollars annuels, notamment à travers la pêche, la plaisance et le tourisme – l’impact sur la biodiversité et la santé humaine de cette forme de pollution demeure encore mal connu.
Plusieurs hypothèses de dessinent toutefois : d’une part, les microplastiques attirent et accumulent les contaminants déjà présents dans l’eau, comme les produits chimiques et les engrais. Ensuite, il existe du fait de leur petite taille un risque de confusion important entre le plancton et les micro-déchets par les organismes filtrants, comme les poissons ou les baleines.
Le rôle des déchets plastiques dans le développement de problèmes de santé demeure par ailleurs incertain, par manque de connaissances sur le niveau d’exposition aux contaminants dus aux déchets plastiques, et sur les mécanismes par lesquels les produits chimiques absorbés par le plastique sont ensuite transférés aux humains et aux espèces marines.
Mais les bactéries, c’est avéré, colonisent intensément les microplastiques, comme le révèle une étude publiée en 2018 dans la revue Environmental Pollution par l’équipe scientifique du chercheur Jean‑François Ghiglione de l’observatoire océanologique de Banyuls. De véritables écosystèmes microscopiques (bactéries, virus, micro-algues, micro-prédateurs) se développent à la surface des fragments, posant des questions sur l’entrée probable de ces molécules dans la chaîne alimentaire. « Les bactéries adorent vivre sur les plastiques. On en trouve en grande quantité, avec une biodiversité très importante, voire plus importante à volume équivalent que dans l’eau de mer », souligne Jean‑François Ghiglione.
Des groupes de bactéries inattendus ont ainsi été révélés, tels que certaines cyanobactéries vivant habituellement dans les sédiments, qui sont très abondantes sur les plastiques récoltés à la surface de la mer. « Un des problèmes majeurs de la pollution plastique est la dispersion d’espèces invasives, qui s’accrochent sur des radeaux artificiels et peuvent parcourir de très longues distances. Ces espèces peuvent modifier durablement les écosystèmes qu’ils colonisent », indique le chercheur du CNRS.
À lire aussi : Des emballages qui ne polluent pas, ça existe !
Au-delà des aspects scientifiques, l’enjeu des plastiques en mer est aujourd’hui de sensibiliser. Les images de sacs plastiques, bouteilles et autres déchets flottants font le tour des médias et des réseaux sociaux, suscitant l’émotion et l’indignation des citoyens.
Un emballement médiatique positif mais souvent trop hâtif, avec des informations et des chiffres non vérifiés. Il s’agit, pour la fondation Tara, de travailler sur une base scientifique robuste, en respectant la science et en évitant de jouer la surenchère sur le danger potentiel des plastiques en mer.
L’océan est sous pression mais le catastrophisme et les images anxiogènes ne contribuent pas toujours à l’avancée concrète des solutions avec les différentes parties prenantes. Des solutions sont possibles à terre, grâce à une économie circulaire, au recyclage, à la réutilisation des ressources et à la transition vers des emballages éco-conçus et non polluants.
Tous les numéros de « La revue de l’Institut Veolia – Facts Reports » sont disponibles sur le site dédié.
Maria Luiza Pedrotti, Chercheuse en biologie marine, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
Le Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets d’une région va remplacer les Plan départementaux des déchets. Il s’agit d’unifier, en suivant des lignes directrices (voir document ADEME), la manière dont les déchets seront désormais traités. L’État entend ainsi déterminer comment les déchets doivent être gérés, il en fixe la politique et le cadre réglementaire, en accord avec la directive européenne 2008/98/CE.
Cette gestion relève cependant des collectivités territoriales. Selon le type de déchet, cette gestion peut être de la compétence de la commune, de l’EPCI, du département, de la Région (qui doit maintenant produire un PRPGD) ou de l’État (déchets militaires et nucléaires notamment). En agissant ainsi, à travers l’ADEME, l’État entend imposer un cadre à chaque région mais en tenant compte des spécificités de chaque région. Il va être mis fin à la cacophonie qui règne et où les représentants de l’État (les Préfets et leurs conseillers dans les DREAL) laissent souvent la bride sur le cou aux élus locaux cornaqués par des industriels peu soucieux de l’intérêt général. Ces derniers trouveraient souvent une oreille attentive et complaisante auprès des fonctionnaires des DREAL chargés de rédiger les textes à la signature des Préfets. La note de l’ADEME est un ensemble de lignes directrices destinées aux Régions et aux DREALs. Nous évoquons Montesquieu et « l’Esprit des Lois ». C’est l’esprit de ce qui va devenir avant la fin de 2019 un document le « PRPGD est opposable aux décisions prises par les personnes morales de droit public, dans le domaine de la prévention et de la gestion des déchets. »
Nous avons pu constater « de visu » dans notre département et dans notre métropole les effets délétères des décisions prises par les élus des collectivités territoriales concernant les déchets. Montpellier-Méditerranée-Métropole, Agglomération Béziers, etc. et de leurs réalisations calamiteuses :
L’élaboration du PRPGD Occitanie a permis d’apprécier le ras-le-bol des riverains de ces réalisations héraultaises que nous combattons (examen du registre d’EUP dématérialisé). Le futur PRGPD sera opposable aux collectivités car il doit tenir compte :
Il semble que le temps des collectivités subornées par les industriels soit sur le point de se terminer. Les Cours régionales des Comptes ont donné leurs avis, il convient maintenant que les Préfets saisissent les juridictions répressives et commencent à exercer leur autorité au nom des principes édictés par l’État et ses ministres de l’environnement « Zéro déchet zéro gaspillage ».
Le PRGPD se double d’un « Plan régional d’action en faveur de l’économie circulaire » (Loi NOTRE). Le législateur marque sa volonté d’instaurer un pilotage régional de la transition vers une économie circulaire, et au delà, d’en faire un objectif global à poursuivre à l’aune des politiques publiques, notamment de prévention et de gestion des déchets. Le champ de l’ensemble de la problématiques de l’économie circulaire semble s’étendre bien au-delà du seul domaine de la prévention et de la gestion des déchets.
L’article L541-15 du Code de l’Environnement prévoit [d’ores et déjà] que ces décisions doivent être compatibles avec le plan. Il en va aussi bien des décisions prises par les collectivités compétentes en matière de prévention et de gestion des déchets que, par exemple, de l’attribution des autorisations d’exploiter des ICPE délivrées par le préfet (installation de stockage par exemple). L’obligation de compatibilité avec le PRPGD peut donc empêcher la mise en fonctionnement d’une (nouvelle) installation qui ne correspondrait pas à l’anticipation des besoins en capacités de traitement, réalisée par l’autorité de planification. Ce plan a une portée juridique non négligeable, dont les régions doivent avoir conscience. Ceci s’applique aux stratégies locales en matière de PGD et d’autorisations préfectorales d’exploiter des ICPE.
L’enquête d’utilité publique s’est terminée le 4 juillet 2019 à 17h. Immédiatement, le registre électronique dématérialisé des remarques du public a été mis hors d’accès. Nous en avions sauvegardé une partie et analysé avec attention certaines contributions. Nous avons rencontré le Commissaire enquêteur à 14h précises au siège montpellièrain (ancien hôtel de région à la Pompignane). Jacky Chanton a été reçu à 15h30. Nous avons eu un dialogue constructif concernant les modes de traitement peu vertueux des déchets de Montpellier-Métropole.
L’ODAM est membre actif du CIDES34 (il est aussi membre fondateur). Instruit par les commentaires peu grâcieux (à la limite de l’injure) de précédents commissaires enquêteurs (Usine de méthanisation Corp, Breuil, Llamas), j’ai remis 6 documents me concernant personnellement et justifiant ma position de chargé d’études de haut-niveau (HN) au Ministère de l’Environnement et du Cadre de Vie (1981-1986) et chef de la Mission des Systèmes d’Information du SRETIE (1983-1986) ainsi qu’un extrait d’un listing sauvé du désastre, daté du 22/03/1986) de la base de données (3.000 fiches) de la Banque d’Information sur les Recherches (banque abandonnée après mon départ du Ministère en octobre 1986 pour un retour au CNRS). Pour la gouverne de la Commission d’enquête, j’ai remis quatre documents ODAM :
Sous réserve de la conformité avec ces documents, nous avons exprimé notre accord avec le PRPGD présenté, et sous réserve de :
(Nous citons le registre dématérialisé, n° 316, 4 juillet 2019, 16h45).
Après avoir été reçu et écouté par le Président de la Commission d’Enquête d’Utilité Publique, je confirme mes propos :
Nous avons fait le maximum.
Nous attendons cette contribution.
Nous attendons cette contribution. Nous pouvons dire qu’elle concerne l’ISDND de Castries dont les odeurs incommodent toute un région à l’ouest de Castries (Saint-Drezery, etc.)..
Raymond GIMILIO
Conseiller CIDES34, Trésorier
Ancien chargé d’études HN Ministère de l’Environnement et du Cadre de Vie (1981-1986 et 1990-1996)
Nous apprenons par le PRPGD de l’Occitanie que St Jean-de-Libron (Hauts-de-Montimas) est un des sites d’ISDND retenus pour exploitation. Une horreur quand on sait comment fonctionne cet ISDND qu’aucune mise en demeure du Préfet et de la DREAL réunis n’a pu obliger à cesser de puer et de dégazer du CH4, du CO2 et du H2S. Les associations locales ont fait chufa devant les tribunaux (ont-ils été mal orientés et mal conseillés ?). Le mille-feuilles de la loi NOTRE ferait-il que personne n’es responsable ?
Nous en appelons aux dirigeants des associations locales. L’union fait la force dit-on ? Après le fiasco du CID34 face à l’enjeu du PRPGD, le CIIDES34, collectif d’associations déclaré, fort de ses huit associations membres et de son petit budget est prêt à vous accueillir. Les déclarations du registre dématérialisé ont disparu du paysage audio-visuel, nous avons pu en sauver une vingtaine et les publier sur notre forum. Saint-Jean-de-Libron rayonne les messages de cinq de ses riverains mécontents.
A bon entendeur, salut.
Nous apprenons par le PRPGD de l’Occitanie que St Jean-de-Libron est un des sites d’ISDND retenus pour exploitation. Une horreur quand on sait comment fonctionne cet ISDND qu’acune mise en demeure du Préfet et de la DREAL réunis n’a pu obliger à cesser de puer et de dégazer du CH4, du CO2 et du H2S. Les associations locales ont fait chufa devant les tribunaux (ont-ils été mal orientés et mal conseillés ?). Le mille-feuilles de la loi NOTRE ferait-il que personne n’est responsable ?
Nous en appelons aux dirigeants des associations locales. L’union fait la force dit-on ? Après le fiasco du CID34 face à l’enjeu du PRPGD, le CIIDES34, collectif d’associations déclaré, fort de ses huit associations membres et de son petit budget est prêt à vous accueillir. Les déclarations du registre dématérialisé ont disparu du paysage audio-visuel, nous avons pu en sauver une vingtaine et les publier sur notre blog. Saint-Jean-de-Libron rayonne les messages de cinq de ses riverains mécontents.
A bon entendeur, salut.
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Avis contribution PRPGD
Défavorable car votre plan compte de l’ISDND de St Jean de Libron à Béziers. C’est une erreur car ce site expose des riverains proches situé sous le vent dominant (cela a été dissimulé dans la dernière étude d‘impact) est exploité dans l‘illégalité depuis 2014, grâce au passe droit de la préfecture de l\’Hérault. Depuis 2014 la quasi totalité des ordures ménagères sont enfouis. Effectivement, la Cour des Comptes nous révêles que VALORBI (centre de valorisation) ne valorise que 3% des ordures, le reste est enfoui à l’ISDND sans stabilisation préalable de la matière organique par manque d\’infrastructures (il manquerait jusqu’à 6 tunnels de stabilisation).
Les conséquences sont dramatique pour la population riveraine qui doit supporter les émanations de biogaz avec le H2S qui au bout de bientôt deux ans rend malade des personnes (irritations des yeux, du nez, de la gorges, des bronches, des cordes vocales….). Des recours au tribunal sont en cours. L’exploitant , la Communauté d’agglomération Béziers Méditerranée refuse de rectifier ses erreurs en fermant son casier N°4. Car ce casier à reçu énormément de matière putrescible et fuit du biogaz et cette situation empire avec la pluie qui réactive fortement la méthanisation. L’exploitant et les services de l’état sont totalement incompétent et ont mis en place des casiers qui restent ouvert pendant 4 ans (casier N°3 ouvert de 2012 à 2016) au beau milieu des habitations alors qu’il est parfaitement connu que la matière putrescibles va se dégrader et engendrer une montée en puissance des biogaz pendant 4 ans, qu‘il est parfaitement reconnu qu’un ISDND n’est pas un méthaniseur comme les autres et qu’il l’a la particularité d’avoir beaucoup de fuites. Alors démarrer le casier n°4 avec des déchets putrescibles fumant (photos à l’appui) et refuser de le fermer pour ensuite refaire de petits casier qui seront fermé au bout d’un an est un acte criminelle pour la planète et la couche d’ozone (CH4 à un effet de serre 24 fois plus fort que le CO2) mais surtout pour les riverains. Alors je remercie d‘avance la région de prendre sa part de responsabilité dans cette affaire. Pour plus de détail consulter le blog: https://airsainmontimas.wordpress.com/
Info
Ce document sans auteur identifié provient du site de l’ADEME. Il est aussi disponible sur le site de la Région Occitanie.
Téléchargez la fiche-plan-regional-prevention-gestion-dechets.pdf
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PRPGD
Le PRPGD a vu le jour en 2014 et a provoqué chez certaines association de défense de l’environnement un profond découragement. Ce fut le cas du CID34, un collectif informel et pourtant actif lassé du « cause toujours tu m’intéresse » d’autorités peu soucieuses de l’intérêt général et plutôt permissives vis à vis des grands industriels du monde des déchets. Ces industriels obnubilés par leur business, illusionnistes faisant miroiter aux élus locaux des solutions autant mirobolantes et inefficaces que chères pour le porte-monnaie des citoyens-contribuables.
Ainsi se sont développés les exutoires nocifs (incinérateurs baptisés UIOM, décharges ISDN ou ISDI, usines de tri mécanique affublées de méthaniseurs, etc.).
Alors qu’il est simple et anti-gaspi de trier les déchets à la source, de recycler-réutiliser-réparer-etc. Prévenir les déchets, vous n’y pensez pas ? Vous aller faire baisser le chiffre d’affaires de ces braves industriels et les dividendes versé à leurs actionnaires! Pourtant, à la grande réunion de Gardanne le 22 novembre 2018 (organisée par FNE-PACA), la question a été posée aux dits industriels. Pas d’échappatoire : on y pense, on y réfléchit.
Réfléchissez vite, l’échéance de 2025 pour la généralisation du tri à la source approche dans le cadre de la LTECV.
Raymond_Gimilio
Président ODAM,
Conseiller CIDES34, Trésorier
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Résidant à proximité de l’ISDND de Saint Jean de Libron, j’ai noté que votre plan régional compte sur ce site pour la gestion des déchets de la Région Occiatnie, choix que je n’approuve pas.
Je tiens à vous signaler les dysfonctionnements concernant ce centre d’enfouissement qui est situé à proximité de 250 habitations et d’une école dans un quartier qualifié «zone verte ».
L’OMS considère la pollution atmosphérique en 2019 comme le plus grand risque pour la santé. Il est maintenant admis que les micropolluants de l’air ambiant pénètrent dans les systèmes respiratoire et circulatoire, affectant les poumons, le cœur et le cerveau. Le ministère de la Santé reconnaît que la santé d’un individu dépend, entre autre, de l’exposome.
Peut-on continuer à tolérer cette situation à Montimas ?
Cette « politique » et sa mise en œuvre ont été dénoncées par la Chambre Régionale des comptes de la région Occitanie dans son dernier rapport qui a mis en exergue des irrégularités.
Peut-on continuer à accepter une telle dégradation de l’environnement local et de telles inégalités territoriales?
Au regard de ces éléments, je demande la fermeture définitive de l’ISDND de Saint Jean de Libron.
Je vous demande aussi d’interdire tout projet de méthanisation sur le site de Saint- Jean de Libron, compte tenu de la proximité d’habitations.
D’une façon plus générale, pour le bien des générations futures, je suis opposée à tout centre d’enfouissement qui a des conséquences sur l’environnement des riverains mais aussi sur la faune, la flore locale, sur les nappes phréatiques. Il est essentiel de laisser la planète la plus « propre » possible.
N S
Citoyenne de Montimas